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L'Agourrame de TIAMAT

Les Recueils de l’Agourrame

 

Les Recueils de l’Agourrame

                                                 L’intention ici est d’entrouvrir la parenthèse à un recueil de spiritualité popularisé.

 

Archéo-Spiritualité

 

Attendu que la spiritualité entend couvrir toutes les sphères métaphysiques de la vie, son champs est par conséquence beaucoup plus vaste que celui de la vie elle-même puisqu’elle nous entrouvre les portes de l’au-delà d’avant les vies, couvre celles-ci et nous transporte après. Elle se trouve donc être la raison même des existences et la réelle vie puisque impérissable.

Et comme elle contient toutes vies, elle ne peut être comprise par l’observation du trajet d’une seule ronde de vies évolutives, mais dans les causalités et finalités de toutes les vies.

Nous faisons tous partie d’un enchainement intercalaire suivi de familles d’esprits en involutions, qui déroule dans le temps une chronologie d’évolutions mettant en avant par-là l’évidente pertinence de l’existence d’une historicité à la spiritualité passé, présageant d’autant une à venir.

A notre époque ou l’ouverture d’esprit se fait sur un univers multiple aux galaxies à milliards de systèmes, il nous apparait plus que probable que chaque humanité de ses univers reste tributaire de sa conduite sur le système et du système où elle évolue. Ce qui fait que notre sort comme notre spiritualité restent intimement lié à notre séjour matériel dans ce coin de l’espace sur notre propre planète. En somme la prédestination de notre spiritualité et non seulement dépendante mais est la résultante de nos interactions avec nos semblable et ceux d’avec notre réceptacle.

Pour saisir les subtilités de cette résultante il est important d’embrasser dans son ensemble toute l’histoire passé de l’humanité dans sa version réelle.

Pour tout quêteur de véracité, il s’avère impératif de partir à la redécouverte de l’authentique histoire de nos origines pour tenter de comprendre la cause de l’amnésie qui nous frape sur une période de près d’un demi-million d’année, depuis l’aube de l’hominidé jusqu’à la préhistoire et tenter de combler le trou béant que représente le chainon manquant entre l’australopithèque et l’homo-sapiens- sapiens.

Ne commettons pas le tort de croire que les hommes des âges plongés dans l’oubli, n’avait pas le soucie de transmettre à la postérité la connaissance de leurs vécus.

Ils l’ont tous fait, seulement quelque chose s’est passé où interposée en cette époque reculer entre nous et leurs mode de transmission.

Un évènement inéluctable resté indéchiffrable, nous a intentionnellement  rendu inintelligible la lecture de ce cruciale passage occulté ! Si il est dérobé, c’est qu’il y’a une raison ! Mais dissimulé par qui ?...

Les uns se préoccuperaient peu de ces prétendus sauvages, venu des fonds des âges et qui semble-t-il seraient ou pas nos lointain parents. Lorsque d’autres par contre se lamenteraient pour eux d’être disparu il y’a des éons et déploreraient leur mal chance de n’avoir pas assisté à l’évolution présente de leurs descendance.

Pour notre gouverne, réjouissons-nous il n’en est rien : Ceux, sont nous-même rendu à un stade plus avancé dans le samsara des rondes de réincarnations.

Ah ! Voilà qui est plus juste et solderait le compte de l’anomalie que serait de frustrer des bien fait de l’évolution les pionniers qui en furent les artificiers et allègre prédiction pour nous de nous voir aussi assuré de rejoindre les prodigieuses percés du future.

Du coup ça réduit sacrément le nombre des conviés à la ronde, puisque c’est toujours les même qui ressurgissent un peu plus loin.

Que ceci ne nous écarte pas du fait que nous somme à la quête de l’événement prébiblique ou pré diluvien qui nous fit basculer dans l’oubli. Ces registres temporels qui expliqueraient nos précédentes évolutions, dont ce saut périlleux en avant franchissant inexplicablement plus deux ou trois millions d’années d’évolution en seulement cinq cent mille ans et l’état dans lequel était avant, notre réceptacle : la planète terre.

L’humanité s’allusionnerait si elle pensait que dans un avenir plutôt lointain que proche, elle se départirait du sort de sa planète allant s’aventurer sur d’autre système pour s’y installer après avoir totalement épuisé le pouvoir régénérateur des ressources de celui-ci.

La voie lactée, notre galaxie n’est que la banlieue de milliards de systèmes voisins où d’autres humanités  expérimentent également leurs évolutions. Il y en a même qui nous devance sur ce terrain et observent à regret et de loin nos agissements infantiles. D’autre le font même de très très près.  

 

Jamais le vocable amérindien «Patcha-Mama» n’a été aussi vrai que devant le constat  des méfaits de notre époque sur la planète et bio sphère.

Aussi ce qui nous plonge dans l’incontrôlable hystérie de la surconsommation abusive et ce qui nous a amputé de notre mémoire primordiale se rejoignent pour designer potentiellement peut être le même artefact.

 

 

Nous le déduisons tous, les esprits émanent de la source multiplicatrice par vagues chronologique, de ce fait la nôtre que nous situerons dans le temps intercalaire entre d’autres, suit le parcourt de la loi d’évolution.

Dès leurs émission les esprits sont imprégnés par écho de la masse des connaissances au degré inconscient  et pour s’émanciper dans leur entité indépendante, ils doivent déchiffrer et reconquérir cette connaissance par eux même de la base à fin d’en assimiler les extrêmes étendus et implications et se forger de manière autonome et non par une programmation initiale qui les priveraient de tout libre arbitre.

Pour cela ils sont précipités en involution dans les sphères les plus densifiées de l’énergie, passant en groupes par les cycles, minéral, végétale, animale avant de s’individualiser en mammifère supérieur.

Dans toutes ces phases ils sont veillé par leurs ainées, esprits déjà élevés d’évolution antérieure, qui ont la charge de gérer l’environnement de leurs progression au stade où ils en ignorent la vraie nature.

C’est ainsi  que l’on retrouve dans la perception intuitive des hommes préhistorique une spiritualité dite animique émaillé d’un profond respect pour les esprits de la nature.

Cette affection prise en dérision par les hommes moderne hermétique à cette lucidité intuitive montre beaucoup d’ignorance à leurs égares.

 

 

Si on devait faire une liste de tout ce dont on est redevable à ces hommes préhistorique, ce récit ne suffirait plus : hormis notre marche et le fait d’être debout, notre résistance physique, notre adaptabilité au changement climatique, la mélanine de notre peau qui nous protège des ultraviolet et le plus grand face au quel toute la révolution technologique et pharmaco-scientifique ne pourraient rien, derrière leurs aspect de rustres évoluant en milieu hostile et périlleux, ils ont su développer toute notre immunité virale.

Ils n’étaient ni sauvages ni malveillants et encore moins agressifs, ni entre eux ni avec les autres.

Déjà organisés en société du groupe on taxe leur culture de primitive et de naïve, pourtant les consonnes et voyelles qui façonnent la phonétique de nos langes d’aujourd’hui c’est eux qui nous les ont inventée et léguer, seulement comme il l’est de nos jours les mots, ces traitres fuyants demeurent insuffisants et inefficaces pour exprimer l’étendu de nos pensées, qui se font par combinaison abstraite d’idées et de possibilité dont le résumé est plutôt un imaginaire intuitif qu’un agrégat verbeux et en l’absence d’un vocabulaire étendu et écriture lettré encore à venir, le mot imaginé revêtait le caractère du monogramme qui est plus adéquat pour restituer l’image mentale de ce que l’érudit d’alors voulait restituer.

Le Sino et Japonais ne sont-ils pas toujours érigés sur les mêmes bases ?

Les monogrammes et signes des pétroglyphes foisonnent sur les supports les plus résistants au temps, que sont les grottes et flancs de montagne.

C’est la rupture de la chaine qui nous prive de la compréhension des sens contenu dans ces images émergeants de la nuit des temps pour projeter paradoxalement les lumières sur ce long intervalle représentant la nuit sombre de nos souvenirs évanouis.

 Australopithèque -3,2 Millions

 
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Homo-habilis -2,6 millions

 
 

L’homme qui marque la rupture et le vide apparu après lui par le chainon manquant est l’Homo-Erectus, descendant de l’australopithèque, son ancêtre apparue en Afrique il y a plus de moins de trois million d’années AP. 

Notre Homo Erectus survient également en Afrique d’abord et vie de l’époque du Paléolithique inférieur à celle du paléolithique supérieur, entre -2 million d’années et -45 000 ans environ avant le présent. Nous notons qu’un million d’années d’évolution le sépare de son dernier ancêtre l’australopithèque. Il a la face beaucoup moins en museau, gagne légèrement en stature 1,70 mètre de haut et (1200 cm3) en volume crânien, mais garde le front fuyant à épais bourrelets osseux au-dessus des orbites.

C’est un marcheur infatigable qui voyage beaucoup. Il y a 1,5 million d’années, il avait déjà colonisé tout l’Ancien Monde, de l’Europe méridionale à la Chine.

Chasseur émérite, il invente un nouvel outil en pierre : le biface. Cuit déjà ses aliments composés de viande et des plantes et vie en communauté.

Homo-Erectus de -1,9 Million à  -45 000 AP

 

 

http://www.dailymotion.com/video/x75owd_l-homme-de-tautavel-02_shortfilms

Nous le rencontrons évoluer sur les aire de l’ancien monde, dont il n’en avait au fait aucune idée ni des formes ni de la géographie. Avec son innocente première conscience, il en était saisit et surement envouté de pressentir et lui percevoir des pouvoir agissant d’eux même, aux travers des furies des forces des éléments, qu’il devaient sans doute interpréter comme les extensions actifs des esprits qui insufflent la vie à cette nature. De cette bouleversante impression fondatrice, sa spiritualité émergeât et naquirent ses vertus à révérer les génies des substances pour s’en approcher et bénéficier de leurs faveur et protection. 

Il n’y’a pas lieu d’en douter la connexion était établie solide et permanente, lui conférant l’insoucieuse quiétude de se reposer sur l’équilibre indissociable qui l’unissait à la nature dont il dépendait pour sa survie.

Invoquant ces dieux de la chasse en qui il se remettait aux prédictions pour déloger les landes peuplées des hordes sauvages dont il vivait. Malgré les conditions climatiques assez difficiles, il s’embarrassait peu d’une quelconque sédentarisation.   A la place il prêtait une prédilection avantagée à suivre les pérégrinations et transhumances des bêtes dont il était assuré de retrouver les traces l’hiver venu.

De sorte, que progressivement il se trouvât disséminer sur la totalité des terres viable de cette époque qui commençait à connaitre les hospices d’une météorologie peut bienveillantes.

Il se trouve que la circularité de l’orbite terrestre ou son excentricité, engendre des entrées et sorties de notre globe des ères de glaciations.                                                                                                                                                                                   Lorsque celui-ci s’éloigne du soleil dans un circuit elliptique, durant quelques 400 000 ans, une nouvelle ère de Glaciation s’installe. Intercalé par un intervalle de 100 000 au moment où la terre revient ou commence à sortir de son parcourt circulaire, qui produit le réchauffement.                                                                                                                                                                 

Les facteurs de variation d’inclinaison de son axe polaire entre 21,5° et 24,5° tous les 41 000 ans, plus la précession de celui-ci d’un cours de 26 000 ans, viennent émailler le grand cycle de 400 000 ans de glaciation par des périodes de redoux, dû a plus d’exposition des pôles à l’ensoleillement durant ces phases.                                                                                                                     Par contre vu les durées des glaciations comparativement à celles des réchauffements, les énormes calottes de glaces du sud comme du nord n’arrivaient jamais à dégeler complétement et s’accumulaient d’avantage à chaque glaciation, ne laissant se rompre et disparaitre partiellement que les banquises, par les courants marins chaud dû aux redoux et fontes cycliques.

 Le niveau marin au maximum Glaciaire, était de 120 m plus bas qu’actuellement et ne fluctuait que de 20 m lors des fontes. A tel point que ce qui est aujourd’hui les glacis inondés des plateaux continentaux, restait en permanence émergé hors des eaux, offrant plus de terre sèche et d’avantages de passages reliant les continents.

 

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La planète s’engonçait littéralement entre ses calottes glaciaires et inlandsis ne laissant de dégagé qu’une médiane bande de terre, autour de l’équateur, sous les tropiques.

En effet il y a 1,9 million d’années, la terre entrait dans une énième ère de glaciation pour 400 000 années et notre ami l’homo-erectus et sa descendance qui venaient juste de suppléer l’australopithèque sur l’échelle de l’évolution, se voyaient à leurs insu repoussés à évoluer uniquement autour des bandeaux morcelés de continents restés hors glaciers.

Ses colonies resterons isolé aux confins des contrés qu’elles auraient atteintes lors des cycles de radoucissements et y permanerons durant les centaines de millénaire des ères glaciales qui se succèderons sans pour autant qu’au terme de plus du million et demi d’années qui nous ramène vers les -300 000 avant notre ère, ait vu une évolution notable de la race.

Les conditions n’avait aucune raison de se prêter à cet effet et pourtant vers ces - 300 000 AP surgissant de nul part au paléolithique moyen, apparait en Mésopotamie  la survenu inexpliqué du Neandertal !  Sans parenté aucune d’avec l’homo-erectus. Un homme aussi nouveau qu’imprévu. La musculaire et le buste sont beaucoup plus massif, la carrure plus grande, deux mettre environs, malgré un bassin bas sur des jambes courte et trapues. Le front n’est plus fuyant vers l’arrière, le menton se rétracte à l’intérieur sur une mâchoire robuste. La voute crânienne explose en hauteur pour abrité un cerveau plus volumineux que le nôtre actuel (de 1500 cmà 1750 cm3). Possède un larynx entièrement développé et procède déjà à un langage rudimentaire ! Autre bizarrerie, puisqu’il n’a vécu avec aucun ancêtre commun développé, du quel hériter l’expérience et la cognition pour nommer les choses !? Particulièrement si son voisin homo-erectus ne pratiquait aucun langage vocale, excepté celui des cris et des signes gestuels ! Alors d’où tient-il le sien ?

 
 

 

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L’australopithèque perdurait déjà depuis 3 millions d’années, lorsqu’il a fallu un million d’années de plus pour amorcer la légère modification évolutive entre lui et  son successeur l’homo-habilis, puis un autre Million pour rejoindre l’homo-Erectus.

Dans le replie figé que connais la nature lors des glaciations, une progression et mutation aussi fulgurantes lève la suspicion. Notamment lorsqu’on voit le Neandertal non venir se substituer à l’homo-erectus, mais rester sont contemporain et le côtoyer pendant des temps assez longs, près de 300 000 ans. Pourtant les différences tant morphologiques que génétiques qui les séparent sont sans communes mesures. L’analyse des échantillons d’ADN prélevé sur les fossiles trouvés des deux populations montre des séquences caractéristiques qui ne laissent aucun doute aux scientifiques quant à leurs incompatibilités. Et lorsque les deux espèces disparaissent, ils le font quasiment en même temps. Il y’a juste 45 000 ans pour l’Homo-erectus et 30 000 ans pour le Neandertal !

Dans la congrégation scientifique des bio généticiens, paléontologues, archéologues et autre logues, c’est la consternation et le comble partagé avec les évolutionnistes de constater l’absence de présence d’un chainon de transmission, manquant à un moment instantané et télescopé de l’histoire de l’humanité, entres deux races distinctes, dont la dernière fait irruption dans notre monde, de nulle part, sans précurseur !

Jusqu’à aujourd’hui la science est resté malhabile à braquer les projecteur sur le mystère de ce chainon manquant, et l’humanité actuel resté sans connaitre l’ambiguïté que cache ce point de nos origine, s’est habituer à vivre avec ce dilemme et a fait comme lorsqu’on est face à un problème longtemps sans réponse, on le refoule au fin fond de sa mémoire.

Tout comme on l’a fait avec une autre énigme, survenu au seuil de la protohistoire et mi-fin du néolithique, dans l’avènement obscur de la civilisation toute faite et prête à la consommation. Dans les déserts entre tribus nomades vivants presque à l’âge de pierre. Il y’a 9 000 ans, l’édification de deux empires monumentaux, unique dans leurs genre. Celui pharaonique d’Egypte et le Sumériens de Mésopotamie, surprennent par leurs abouties et leurs organisation, une fois encore, sans modèle historique !Jusqu’à aujourd’hui la science est resté malhabile à braquer les projecteur sur le mystère de ce chainon manquant, et l’humanité actuel resté sans connaitre l’ambiguïté que cache ce point de nos origine, s’est habituer à vivre avec ce dilemme et a fait comme lorsqu’on est face à un problème longtemps sans réponse, on le refoule au fin fond de sa mémoire.

Ce qui saisis, ce n’est pas qu’autour, mais partout sur le globe l’humanité sort à peine de l’âge de pierre, dans les contrés retiré les gens vivent toujours de la chasse et dans les cavernes,  les pasteurs sont transhumant vivant dans des huttes et les villages des premières paysanneries sont en torchis. Alors qu’en Egypte, le pays est déjà distribué en districts avec des chefs-lieux, bâties en villes en pierre de taille, sur le modèle de plans rectilignes sortie des planches à dessins d’architectes et sont relié par des routes ou des voies navigables. La roue et le char à bœufs sont connue et le cheval déjà dompté monté et harnaché.                                

L’état possède une écriture et des lois. Il est gouverné par une monarchie, reposant sur le droit héréditaire et  une armée constituée de professionnels permanents. Une administration civile organisée est archivée par des fonctionnaires lettrés ayant des bâtiments  de ministères indépendants. Le culte libre et diversifié, compte plusieurs temples monumentaux. Il y a une médecine, l’artisanat et la culture agraire sont florissantes. Le pays connait la navigation qu’il utilise d’abord pour le transport et possède plusieurs navires à rame et à voile.

A Sumer, sur la grande plaine argileuse parcourue par le Tigre et l’Euphrate, la pierre de taille faisant défaut les villes sont construites en brique crue sur des tertres en brique cuite. Le régime politique est diffèrent, les cités sont indépendante les unes des autres et forme des cités état diriger chacune par son propre roi. Chaque cité à un parlement et une chambre consultative, un palais de justice, des bâtiments administratifs, une école, divers temples et greniers à grains. Hors des murailles de la ville, les champs de culture poussent organisés et irriguer par des chenaux aménagés à cet effet partant des fleuves. Autre les rues et ruelles les cités sont parcourues par de larges canaux servant à la circulation fluviale où navigues des barques à rames ou à voile.

Les sciences mathématiques, la médecine, l’astronomie, l’astrologie et l’étaient plus poussés qu’en Egypte. L’enseignement était publique, prodigué par des enseignants fonctionnaires. On y écrivait en Cunéiforme avec des Calames en roseau taillé sur des plaquettes d’argile fraiche. Autre une bibliothèque, les cité comptaient des prêtres, des hommes de loi, des scribes, des médecins, des architectes, des artisans en tous genre, potiers, céramistes, bijoutiers, forgerons, charrons, etc. La roue, char à bœuf et a chevale étaient connus et d’usage courant. Le bourg et village d’alentour dépendaient de l’administration de leur cité.

Deux ilots de lumière entourés d’océans d’obscurités est l’intéressant, cliché instantané tiré de la fin du néolithique !

Fait surprenant, cette seconde anomalie chronologique rejoint la première par l’insolite. Mais vu que ces deux civilisations fondatrices se distinguaient déjà par la possession de la faculté de consigner par l’écrit leurs histoires, il y aurait peut-être un début d’explication à ce prodige, dans le foisonnement de textes qu’ils nous ont légué.

Les feuillets de l’histoire riche en rebondissement nous conduisent en 1843 à Mossoul, à côté de Bagdad et aux fouilles de l’équipe française du consul de France Paul-Emile BOTTA sur la colline de Khorsabad, le site enfuit de la ville de Ninive, capitale de l’empire Néo-Assyrien et la découverte dans la bibliothèque du palais du roi Aschurbanipal, de plus de 33 000 tablettes cunéiformes. Ce roi particulièrement érudit, écrivait lui-même et avouait détenir la science de comprendre et déchiffrer les langues de cultures plus anciennes tel : l’akkadien et le sumérien.                                                                                                                                                                                          L’empire assyrien s’est étendu dans le temps de -2400  à -609, et donc était contemporain de l’empire de Babylone, des royaumes d’Akkad, celui d’Elam et de l’empire Pharaonique d’Egypte.                                                                                                   Aschurbanipal -650 à -627 fut le dernier grand empereur de l’empire néo-assyrien.

Par chance pour l’humanité, cet homme cultivé et raffiné, affectionnait la collection de textes et livres rare très anciens, qu’il tenait dans sa bibliothèque de Ninive, qui vient d’être déterrée. On lui doit donc la survivance du fond culturel suméro-babylonien.

Parmi les traités scientifiques, récits poétique et autres, les assyriologues et sumérologue sont tombés sur des textes qui ont mis en émoi et ébranler sur leurs fondements les connaissances établies, du moins dans les esprits des traducteurs. Il s’agit des tablettes contenants les textes de, L'Enuma Elish (récit de la création du mode), d’Enki et Ninhursag (récit de la création de l’homme), l’ATRA-HASIS d’Utanapishtim (récit du Déluge), et L'épopée de Gilgamesh (un deux tiers dieu et un tiers humain, roi d’Uruk à Sumer à la recherche de l’immortalité).

Enuma Elish

 

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 Lorsque Là-haut le ciel n’avait pas encore de nom,
Et qu'Ici-bas la terre ferme n'avait pas de nom,

Ces textes en Akkadien écrit en caractères cunéiformes, sont les copies de textes sumériens anciens qui eux même relataient les récits de scribes encore plus ancien rapportant des fait s’étant déroulé dans les temps antédiluvien des royaumes du premier Sumer gouverné par des dieux.

Donc nous apprenons qu’il y a eu un pays de Sumer originel antérieur à celui datant de -6000 à -2500 AP et qu’il fut déblayé par un déluge rapporté par les premiers Sumériens avant les récits biblique ! Que la bible, écrite par les prêtres hébraïques vers -600 après la chute des Assyriens, est calqué sur l’inspiration de la mythologie babylonienne, suite à leur long contact avec ceux-ci, dû au séjour de captivité à Babel, déportés par l’empereur Nabucodenezar.

Nous avons fait ce grand saut en avant de milliers d’années, et si nous avons pénétré un début de note à l’origine des Sumériens, ce qui nous importe le plus c’est rattraper les temps d’il y’a moins de 300 000 ans qu’indiquent les couches stratigraphiques du sol à l’endroit où l’on a décelé les fossiles des premiers Néandertaliens.

Cela aussi les plaquettes cunéiformes d’argile le relate. Mais ce qui est confondant, est la corrélation entre la datation au carbone quatorze de l’archéologie et celle de l’indication des récits des premier sumériens, relatif à la création d’une nouvelle race d’homme !

La légende Sumérienne d’Enki et Ninhursag, raconte comment les Announaki (ceux qui du ciel sont descendus il y a plus de 400 000 ans) après avoir travaillé durant 100 000 année sur terre à chercher les minerais dont il avait besoin sur leur planète Nibiru. Accabler par les durées interminable des expéditions, la nostalgie dû à l’éloignement astronomique des leurs, La gêne fatigante d’excaver la terre continuellement sous les scaphandres qui les protèges des rayons solaire, trop fort ici pour eux à l’extérieur, et isole du milieu virulent des microbes et bactéries différents de leurs monde partout et à l’intérieur des mines, ils se sont révolté, réclamant des robots pour œuvrer à leur place.

 

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Tête d'un dieu protégé par un casque strié et affublé de "grosses lunettes".

 

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Dogou à lunettes, de la période jômon. Les Jômon, premiers habitants de l'archipel Japonais, apparus il y’a -10 000 AP.

 

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Leurs supérieurs calculant au plus profitable, aidé de leur avance en génie génétique, ils virent plus avantageux de tirer profit de la modification génétique de l’une des créatures terrestres la plus évolué. Evénement qui tombe 100 000ans après leur arrivé sur terre Il y’a 400 000 ans.

 Et donc Il y a 300 000 ans leur choix se fixe sur L’homo-erectus, malhabile à suivre et exécuter un programme qu’il ne pouvait comprendre et surtout habituer à sa grande liberté, il n’avait que faire des plans de parasites venus le gêner et concurrencer  sur son territoire. Sa modification génétique s’imposait comme une alternative inéluctable pour leur propre essor.

Il y a des plaquettes sumériennes expliquant par des schémas, comment les généticiens Nibiriens se sont livrés à de multiples tentatives et essais dans des éprouvettes pour essayer de combiner les modifications sur la chaine de l’ADN d’humains capturés.

Puis les expériences infructueuses d’inséminations in vitro d’ovules humaines par des spermatozoïdes génétiquement modifié.

Jusqu’à la réussite de la fertilisation d’un ovule humain fécondé in-vitro par du sperme Nibirien modifier et l’implantation de celui-ci dans un utérus de volontaire Nibirienne et l’obtention à terme d’un rejeton viable, mais stérile, qui ne pouvait être reproduit que par clonage.

Les superviseurs de ce programme de modification génique étaient Enki et Ninhursague sont épouse, médecins en chef de l’expédition Nibirienne sur terre. Qui devaient surement travailler en étroite collaboration avec une équipe de savants, docteurs et assistants, sous les accords et empressements directs des dirigeants restés sur la planète Nibiru.

Le résultat concluant était à multiplier en grand nombre, élever et formé pour satisfaire l’espoir attendu de relever les ouvriers Nibiriens. Pour ce faire il y eu recours à des mères porteuses Announakis, remplacés après par des quotités spécialisés mères : métissés Terriennes-Announaki, dès qu’il fut possible d’y parvenir.

Les rejetons de celles-ci pris en charge dans des pouponnières d’élevage et formation pour les tâches à accomplir. Il n’aura pas fallu plus d’un siècle pour arriver à une population très satisfaisante de main d’œuvre gratuite. Certes les capacités de cet être hybride durent être augmentés par le nouvel apport génétique exogène, mais pour les Nibiriens, cet homme tout neuf abasourdi de ne posséder aucunes expériences ni liens avec l’univers dans lequel il vient d’être plongé, devait demeurer dans cet ignorance à par l’enseignement sommaire qu’il recevait pour les taches qu’il avait à accomplir.

A part les déductions sensées qui découlent de ces notions, les informations de base sont réellement consignées sur les tablettes sumériennes où il est fait état des faits des Anounakis. Plus de 280 000 ans se passe entre la perpétration de cet évènement de modification biologique et celui des proto-sumériens qui let relatent

 

 

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 280 000 ans est une période de temps infranchissable pour des humains. Ceux qui écrivent n’étaient pas témoins mais consignent par ouïe dire des même Anounaki encore présent, quelque milliers d’années avant le déluge. Pourquoi iraient ils inventer, et comment devineraient il la représentation ne serait-ce, que celle d’un tube à essai et son usage en cet époque ?                    Pourquoi les regarder avec suspicion, ne somme nous pas nous même en génétique, arrivé au stade du clonage ? Pourquoi d’autre plus avancer que nous dans le temps, n’y seraient-ils pas parvenu ?

Des sumeriologue abasourdies par tant de révélations ; il y en un qui a Didier sa vie au déchiffrage et interprétations de leurs message. Il s’agit de Zacharia Sitchine, le premier à avoir mis le doigt dans l’engrenage des codifications caché derrière les sens des mots et révélé le vrai visage des Announakis et de leur planète Nibiru. A lire de lui entre autre, la douzième planète écrite en anglais en 1976 et traduite depuis en Français.

Avouons que le recoupement concordant en coïncidences entre les -300 000 ans âge donné par les Announaki comme début de leurs hybridations et les -300 000 ans datte de l’irruption du Neandertal, apparait à point nommé comme un éclaircissement en réponse à l’imbroglio d’avant.

 Puis un chiffre, même si Rond, personne n’irait l’inventer par hasard à une époque où nul ne saurait a quoi il va correspondre dans des fouilles des couches stratifiés de la terre, aussi lointaine dans le futur.

Voyons maintenant si les sumériens sont crédibles lorsqu’ils nous parlent des Announakis :

Récapitulons, on ne peut ignorer le fait de l’existence des sumériens. S’ils ont existé avec une civilisation florissante, d’où tiennent-ils ce savoir inouï, puisque partout tout autour n’existe qu’ignorance ? Ils ont eu la prévenance, de nous renseigner sur ce point pourquoi les démentir ?

Contestons-le d’avantage, les chaldéens sont connu pour leurs connaissance étendu de l’astrologie qu’ils retiennent de la science des Babyloniens dans cette matière, qui eux même avouent le détenir des connaissances astronomique des Sumériens !

Ces dernier savait parfaitement la position exacte de l’équateur céleste, sur lequel évoluent les constellations que préfigures les signes du zodiaque. Ils connaissaient leurs formes et position occupé selon les saisons, années et cycle de levé de solstice en chaque maison, en 2160 ans. Pour déterminer cette date avec précision, il faut la connaissance exacte du temps du cours de l’année solaire (lorsqu’on sait que les Romains et l’église catholique se dépatouillaient encore avec leur calendrier solaire inexact des milliers d’années après) et l’observation de plusieurs générations d’astronomes étalés sur 12 fois cette période de 2160 années pour que le solstice en chaque maison fasse le tour complet de l’équateur. Ça fait environ 26 000 ans d’observation avant d’avoir la certitude de l’exactitude et stabilité pérenne de ce positionnement.                                                                                                            Inouï ! La civilisation Sumérienne n’a pas disposé d’une durée aussi longue pour confirmer cette donnée par l’observation !

 

Pourtant ! Retenons notre souffle, «  La constante de Ninive » est ardue.            

 Parmi les tablettes retrouvées dans la bibliothèque de Ninive vers 1870, il y avait un paquet qui était recouvert de nombres et de fractions de chiffres à priori du système sexagésimal, resté incompris, méticuleusement classés puis négligés.

Ce n'est que dans le courant des années 1950 que ces tablettes furent étudiées par les mathématiciens et que leur traduction fut publiée dans un livre intitulé Gods, Graves and Scholars publié à New-York en 1951.

Dans les traductions au système décimal actuel, figurait un énorme nombre de 15 chiffres s’exprimant à la centaine de Billiards

qui donnait : N = 195 955 200 000 000.

Ce nombre représente donc exactement 195 Billiards et 955 milliards auxquels il faut encore ajouter 200 millions.

Beaucoup plus qu’un million de fois la distance de la Terre au Soleil.

L'énormité ahurissante de ce chiffre rebuta tout le monde et personne n’osa hasarder une théorie sur ce que pouvait bien avoir signifié pour les Assyriens qui vivaient à Ninive il y a plus de 3 000 ans, un nombre aussi fantastique.

 

La seule personne qui ait essayé et réussit à découvrir la signification de ce nombre est un mathématicien astronome français naturalisé américain, nommé Maurice CHATELAIN. Directeur technique des systèmes de communications et d'Informatique du programme de la fusée Apollo. Il en entendit parler pour la première fois en 1963 à Paris lors d'une conférence internationale d'astronautique.

Il pense immédiatement que ce nombre énorme pourrait bien représenter la grande année ou grande Constante que les astronomes et astrologues essayent de découvrir depuis des siècles.

Les astronomes et mathématiciens impressionnés par la régularité du mouvement des astres ont essayé infructueusement de percer le secret de cette merveilleuse horloge.

Ils avaient compris qu'il devait exister une très longue période de temps qui représenterait un nombre exact de révolutions de chacun des astres connus et à la fin de laquelle; ces astres se retrouveraient tous ensemble à leur point de départ.

Cette période imaginaire, ils l'avaient appelé la grande année ou la grande constante.

 

Après avoir longtemps trituré ce nombre par ordinateur, Maurice Chatelain découvre qu’il était  240 fois le multiple du cycle de précession des équinoxes, décliné en 9 450 000 jours de 86400 secondes chacun.                                                                              Soit : N = 195 955 200 000 000   =    240  x  (9 450 000j x 86 400s’).

La précession des équinoxes qui fait tourner l'axe de rotation de la Terre autour du pôle de l'écliptique en 9 450 000 de jours soit environ tous les 25920 ans, était un phénomène bien connu des sumériens, et n’avait jamais été calculé avec autant de précision.

 

Ce nombre de Ninive représentant bien les, 240 cycles de rotation des saisons autour de la bande zodiacale, mais exprimés en secondes de temps, au lieu de l'être en jours ou en années.

Il ne s’agit d’autre que la grande constante du système solaire que les alchimistes, astrologues et astronomes ont peiné à découvrir depuis près de 2000 ans sans y parvenir jusqu’à nos jour, alors qu’aussi extraordinaire que cela puisse le paraitre, leurs ancêtres Sumériens, connaissaient déjà depuis plus de 3000 ans.

 

D’autant plus que des équations déclinées de ce chiffre donnent les conjonctions, toujours à la précision de la seconde de :

19 conjonctions de Pluton-Neptune, 54 conj. de Neptune-Uranus, 204 conj. Uranus-Neptune, 466 conj. Saturne-Jupiter,

4140 Jupiter-Mars, 10122 Mars-Vénus, 23382 Vénus-Mercure. Information que l’on ne peut déduire qu’à la connaissance dans une grande précision de la durée, distance parcouru et vitesse des révolutions de chaque astre de notre système sur son orbite.*ScientoX – Web /Chronique sumerienne

Ça fait beaucoup à savoir !

Or fait étrange, curieusement même si nous ne connaissons le nombre exact des planètes de notre système solaire que depuis peu, vu qu’il fallait des télescope puissant pour ce. Les sumériens sans les avoir jamais aperçu, les connaissait déjà en les nommant chacune par son nom ou les représentaient ensemble et dans l’ordre de leurs positionnements dans le système, sur leurs fresques et gravures avec une planète supplémentaire qui nous est inconnu à nos jour.

 

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Pourquoi alors toute cette série de chiffres est-elle exprimé en seconde comme le font les astronomes modernes, à un moment où personne n’a l’usage ni peut se représenter la seconde et encore mois la mesurer en l’absence d’invention d’un instrument prévu à cette effet ?

Qui a besoin à ce moment de savoir où ce trouverons les planètes à chaque seconde du temps, alors que les sumériens ne pouvaient ni les observer ni même devrait  avoir eu vent de leur existence ?

Et qu’elle est donc cette planète supplémentaire que les sumériens représentent ?

 

Seule la route itinérante d’un vaisseau spatial au travers d’un système planétaire,  réclame de telles précisions pour le tracé d’une voie qui ne frôle à aucun moment la trajectoire d’une planète.

 

Nous ne faisons que commencer à redécouvrir les connaissances absolument fabuleuses qu’avaient en leur possession nos ancêtres sumériens et babyloniens. Et même si leurs élites ne voulant pas les exposer aux sens du Commun, s’évertuaient scrupuleusement à les dissimuler  sous le voile de l’allégorie et mystère des symboles, sous l’analyse pénétrante de certains traducteurs doctes, les récits poétiquement codés finissent par délivrer leurs sens cachés.                                                                                               Parmi les nombreux textes mésopotamiens considérant ce sujet, « L'Enuma Elish » récit de la création du monde, devient assez clair après ce traitement et nous dit :

Enuma elish la nabu shamamu
Quand, dans les hauteurs, le ciel n'avait pas été nommé,
Shaplitu ammatum shama la zakrat
Et au-dessous, la terre ferme n'avait pas de forme

Lorsque Là-haut le ciel n’avait pas encore de nom, et qu'ici-bas la terre ferme n'avait pas de forme (il est bien dit que la terre n’avait pas encore de forme, c’est-à-dire pas de configuration géologique montagneuse ni séparations continentales), du fond de l’espace est venu une grosse planète tellurique du nom de Nibiru accompagnée de ses quatre lune, qu’elle fut capturé par notre système solaire. Entrant dans celui-ci elle provoquât de grands bouleversements aux ordres orbitaux des plantes du système. Sa taille et inertie gravitationnelle la placer sur une orbite située entre Jupiter et Mars, circuit déjà occupé par une autre planète de non moindre taille, nommé Tiamat. L’effet consécutif est décrit par « l’Enuma Elish » comme une grande bataille céleste entre (Nibiru en sumérien ou Marduk en Akkadien selon la langue du récit) et Tiamat pour l’emprise sur cette orbite. Il en résulta qu’a l’approche de Nibiru, la gravité exercé de Tiamat décrocha une des lunes de Nébiru, qui a fondu sur elle dans un choque catastrophique qui brisa sa croute et réduite de taille. Déclassé de son ancienne orbite faute de masse gravitationnelle plus consequante, elle évolue actuellement dans une nouvelle sous l’appellation de la planète Terre. Les traces témoignant du passé à l’emplacement de cette bataille épique sont les restes de la ceinture des astéroïdes situés entre Mars et Jupiter que les sumériens nomment le bracelet martelé (Bracelet martelé est une image on ne peut plus exacte de ce qu’est la ceinture des astéroïdes décrivant un énorme périmètre de débris rocheux au tour du soleil évoluant à la cinquième position, après l’orbite de la planète Mars.

Diverses tablettes mésopotamiennes provenant des fouilles de Nippour, Sippar, Larak, Larsa, Ur ou Eridou, évoquent des périodes de gouvernance de ces cités en durées multiples du Shar Sumérien qui est de 3 600 ans. Le nombre 3.600 était écrit en mésopotamien comme un grand cercle. L'épithète pour planète Nibirou, shar ("souverain suprême") signifiait également "un cercle parfait", "un cercle complet", et aussi le nombre 3.600. Ainsi, l'identité des trois termes : planète/orbite/3.600,  relatif à Nibirou, tendent à nous indiquer que la périodicité de son orbite est de 3600 années terrienne et une année Nibirienne

Ceci renvoi le circuit orbitale de Nibirou dans une ellipse allongé durant 3 600 année avant chaque retour et place l’apogée de son orbite, complètement hors du système solaire.

Vérifions maintenant si le contenu de cette interprétation s’apparentant à une légende, trouve dans la réalité des preuves concluantes qui confirmeraient ses données.

 

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Grace au satellite infrarouge Spitzer de la NASA, nous savons actuellement que notre minuscule soleil est à la limite de ce qui fait l’étoile, 1,2 masse stellaire ; que dans notre galaxie qui pullule de milliard d’astres étincelants ; les systèmes planétaires ne naissent que des disques d’accrétions formé au tour des étoiles à leurs naissances, et que la formation de ces disques d’accrétions n’est favorisé que dans les système binaire.  De fortes présomptions pouvaient déjà le laisser présager, étant donné que les étoiles doubles sont majoritaires dans l’univers.   

Devant le constat que les binaire étaient de deux tiers plus nombreuses, le satelite Spitzer, spécialement conçu à l’examen de ce phénomène est parti à la recherche de disques de poussières, vestiges des disques d'accrétions formant des planètes autour des systèmes doubles, portant sur l'étude de 69 systèmes binaires entre 50 et 200 années-lumière autour de notre système.

 
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Il en résulta de ces études que les binaires serrées, celles où les deux étoiles sont particulièrement proches, constituent plus de 60% des cas recensés, normalement plus voisins du centre galactique et présentant des disques d’accrétions très ténues.

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   Alors que les étoiles séparées par de 3 à 50 UA* montrent, au contraire, un déficit en disques de poussières détectables.

 
 

    Enfin, de 50 à 500 UA, on détecte à nouveau des disques, mais autour d'une seule étoile du couple, comme indiqué sur le schéma ci-dessous. Ce model particulier pressente les vestiges d’un disque d’accrétion plus dense susceptible de d’avoir donné naissance à un système planétaire interne(Les planètes beaucoup plus petite que les étoiles et n’émettant pas de rayonnements restent imperceptible à ces distances sidérales même pour un télescope infrarouge). Le fait que l’étoile jumelle reste sans disque de poussière, viendrait du fait qu’elle soit légèrement plus petite et que sa sœur plus gourmande ait absorbée par une attraction gravitationnelle plus forte la matière résiduelle du sien, après leurs naissances.

*UA = unité astronomique = 150 000 000 Km

Toutes les probabilités de l’astronomie tendent à pronostiquer que notre propre système solaire soit associé à ce dernier model.

 

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Deux évidences majeures affirment cette hypothèse : La pérennité de la permanence de notre système sur un bras spiralé  à l’extérieur du noyau galactique, tout au long des girations de ces 4,5 milliard d’années d’existence, signale qu’il appartient à un système binaire dont les forces gravitationnelles cinétiques conjugués des deux étoiles ; agissent comme le couple d’un moment de force dynamique qui lui confédère l’inertie suffisante pour se maintenir en équilibre opposé à la limite d’atteinte de l’aspiration du centre galactique.
Deuxièmement : La stabilité de ses orbites planétaire sur le même plan que l’écliptique atteste de la présence d’un astre jumeau non loin, quoi qu’invisible, pour les sous-tendre tous par le faible de sa gravité lointaine, comme étiré par un élastique géant sur le même plan de giration. Sans cette sous-tension on verrait les planètes adopter des orbites azimutées en graduations désordonnés et différentes pirouettant globalement dans toute la sphère solaire, ce qui ferait entremêler les fréquences des résonnances magnétiques qui leurs font garder leurs rangs et perturberait leurs stabilités dans leurs orbites respectives, faisant entrechoquer leurs lunes et satellites dans un chaos permanant. Aussi inattendu que ce soit, on rencontre la similitude de cette même description chaotique dans la première phase de création du récit  « Enuma Elish » !

Si ce frère jumeaux à notre soleil nous demeure caché et inconnu, c’est qu’il a été dès le départ calculer dans une masse inferieur au soleil, pour exercer l’attraction juste suffisante à fixer le maintien de notre système. Dans cet ordre d’idée et la variété de modèles d’étoile binaire précédemment cité, le jumeau étant inferieur en masse à notre soleil (1 million de fois la masse de la terre) devrait être à 0,8 de cette masse et se placer possiblement à quelque chose d’un peu plus d’une demi année lumière de nous, environs 50 unités astronomique, c’est-à-dire plus que moins de 7,5 milliard de kilomètres. S’il nous reste constamment invisible, c’est qu’à sa masse inferieur à celle nécessaire à l’incandescence minimum d’une étoile normale, l’astre n’enclenche le processus de combustion de son hydrogène qu’à un rythme très lent ; sans briller il rentre de ce fait dans la catégorie des étoiles dite naine brune, classification dû à leur petite taille et couleur rouge sombre. Placé à des distance intersidérale aussi lointaine, il devient invisible à l’œil nu où télescope traditionnel, faut-il encore deviner son emplacement avec exactitude pour focaliser ce dernier dessus. En attente on le devine par ces effets sur notre système. Pour rappel, les anciens qui avaient déjà intuitivement pressenties sa présence le nommaient ‘‘Némésis’’. Pour la forme nous lui garderons ce nom.

 

Donc au départ il y’a quatre milliard et demi d’années, la nébuleuse de poussière qui allait donner naissance à notre soleil s’est trouvée divisée en deux parts inégales ;  du ploiement rapide de la plus grosse apparaîtra en premier notre soleil, suivi de ses plantes, alors que dans un autre coin voisin de notre galaxie se couvait la naissance lente de son jumeau.

Donc au départ il y’a quatre milliard et demi d’années, la nébuleuse de poussière qui allait donner naissance à notre soleil s’est trouvée divisée en deux parts inégales ; 

 

du ploiement rapide de la plus grosse apparaîtra en premier notre soleil,

 
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suivi de ses plantes,

 
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alors que dans un autre coin voisin de notre galaxie se couvait la naissance lente de son jumeau.

 
 

Le jumeau que nous appellerons désormais Némésis, né d’une implosion lente de moindre puissance que celle du soleil, n’expulsa pas le résiduel de sons nuage violemment aussi loin. Faute de thermodynamique plus élevé, les matériaux étant resté  proches et condensés ne générèrent sans doute que peu de planètes, certainement des telluriques assez lourdes.

 

 
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Ces deux systèmes nichés chacun dans son creux spatial fonctionnent en binôme pivotant, le plus grand entrainant le mineur dans le sens contraire de sa rotation.

 
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Leurs orbites elliptiques à trois foyers plutôt que deux, balancent entre rapprochement et éloignement sur des périodes de temps de l’ordre du milliard d’années.

 C’est surement lors de la première proximité qui a suivi le démarrage du couple, que la plus grosse planète de Némésis lui fut arrachée par l’attraction solaire ; accentué à ce moment par la conjugaison de l’approche maximale et présence de l’énorme Neptune au bord du système.

 

 

Actuellement il est intéressent de voir que depuis ces quelques derniers siècles où l’homme s’est enfin doté des instruments lui permettant de scruter notre étoile et ses satellites d’un peu plus près, les astronomes ont réussi à répertorier toute une série d’anomalies au système solaire, qui ne peuvent être exclusivement attribué aux contractions de sa propre création.

 

Tout d’abord à l’extrême bout du système, Pluton tourne sur une orbite considérablement elliptique, inclinée de plus de 30°par rapport à l’écliptique et le fait en pivotant sur lui-même en sens inverse des planètes, son axe de rotation ayant subi une culbute de de 180°.  

 

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Neptune a les pôles inclinés et orbite beaucoup plus à l’intérieur du système qu’il ne devrait l’être.

 

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La planète Uranus, elle par contre a subi un renversement de 270° de ses pôles et gravite comme un tonneau roulant sur son propre orbite tournant à l’envers vers l’arrière.

 

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Saturne a également un axe polaire qui oblique significativement, repérable à l’inclinaison connu de ses anneaux.

 

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C’est seulement après saturne que les planètes retrouvent l’aplomb de leurs pôles par rapport au plan de l’écliptique.

 

Toutefois, là aussi on relève d’autres types d’anomalies,  selon les calculs de la suite arithmético-géométrique, de la loi Titius-Bode, relative aux distances séparant les planètes les unes des autres, dès le dix-huitième siècle on remarqua un énorme vide laissé inoccupé entre Mars et Jupiter, par le fait de quoi Jupiter se trouvait beaucoup trop loin de mars.

Les puissants télescopes du dix-neuvième siècle découvrirent la ceinture des astéroïdes à l’emplacement du vide laissé et on pensa immédiatement que la ceinture d'astéroïde eut été une ancienne planète (Phaéton) dont il ne restait que les débris. Simplement comme la ceinture d'astéroïdes entière ne comprenant pas suffisamment de matière pour former une planète le problème resta entier et l’anomalie s’épaissit.

De même qu’au début du vingtième siècle pour résoudre le problème de l’incohérence posé par le positionnement de Neptune et Pluton, lorsque ce dernier fut découvert après 1930, les astronomes envisagèrent la possibilité du fait que Neptune pouvait anciennement avoir été à la place où se trouve actuellement Pluton, Pluton étant à l'époque sa lune. Différentes hypothèses non confirmées pouvaient laisser supposer cette migration.

Pourtant l’anomalie la plus frappante qui peut être déduite du positionnement actuel des planètes, est celle de la terre se trouvant seulement à cent cinquante millions de kilomètres du soleil tout en étant couverte d’océans !

Or il est pertinemment prouvé que les violentes rafales du vent solaire et radiations des rayons X et Ultras Violets trop puissants à cet intervalle, délitent complètement les molécules d’oxygène et d’hydrogène en s’opposant à leurs combinaison en H2O, (l’Eau).

 

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Dans ce cas comment expliquer la présence de telles quantités d’eau sur terre alors qu’elle est impossible à former, tout de suite après la fusion des agrégats en masse magmatique, en l’absence d’une atmosphère neutre protectrice des rayonnements (les nuages carbonés issus des rejets volcaniques contenant très peu de vapeur d’eau vite combiné en acides sulfurés) ? 

Tandis qu’à près du triple de cette distance, (2,7 UA) ces rayonnements se trouvent absolument atténués, néants plus d’effets sur la combinaison des molécules d’oxygène et d’hydrogène en Eau. Grande coïncidence, c’est exactement à cette distance qu’après la planète Mars, se trouve la ceinture des astéroïdes, à l’emplacement de la planète manquante ! Cette ceinture étant essentiellement composée de météorites de glace et débris rocheux de diverse taille. Cérès, le plus gros, un planètesimau nain d’environ 1000 km de diamètre est composé comme on s’y attend de roche et de glace ! 

 

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Apres la terre, Venus, à les axes bien dans le sens perpendiculaire à son orbite, mais elle aussi a subi un inversement de 180° et tourne donc sur elle-même en arrière tout en gravitant de l’avant sur son orbite !

En ces occurrences, on ne peut remettre en question ou nier l’existence de toutes ces altérités signifiantes.

Elles indiquent de manière suffisamment importante, que par le passé juste après sa formation, notre système fut théâtre de l’arrivée d’un grand évènement qui remodifia profondément sa composition ; laissant en témoignage de cette intervention les traces identifiés comme anomalies du système.

 

Nous ne reprendrons pas la comparaison de « la 12 eme planète », inestimable œuvre de Sitshin, où il met en exergue son interprétation sans déroger à la version akkadienne de « l’Enuma Elish » qui nome la planète Nibirou Mardouk en éloge à la divinité babylonienne établi à l’époque. Ni Laisser les Nibiriens via les Sumériens, nous imposer leur version décrivant leur planète comme principale acteur organisant les évènements au cœur du système solaire.                                                                                                 

Surtout qu’au moment des faits (après les premiers 500 000 ans environs qui on suivit la formation du système solaire, il y’à 4,5 milliard d&rsq

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